
Le rencontre, organisée par l’Académie internationale pour le développement économique et social (Aises), a voulu mettre l’accent sur le thème probablement le plus débattu en cette nouvelle année: la famille, vue dans ses diverses perspectives sociales, politiques, mais surtout économiques. « La famille est le premier amortisseur social de la crise économique », a déclaré dans son mot d’introduction, le vice-président de la Chambre des députés, Maurizio Lupi. Et celle-ci doit devenir « non pas un élément mais l’élément du développement économique ».
« Le judaïsme et le christianisme sont les deux seules religions qui mettent la personne, la famille et les enfants au centre », a déclaré pour sa part le directeur de l’agence ZENIT, Antonio Gaspari, modérateur du symposium, avant de laisser la parole au président de l’Aises, Valerio De Luca. « Si nous voulons ramener l’économie à son vrai rôle, a déclaré Mgr Leuzzi , à la fin de la conférence, si nous voulons dépasser cette idée que la société ne grandit que si l’on produit plus, nous devons récupérer l’amour conjugal, première communauté où l’homme apprend non seulement à produire, mais à construire ».
« La famille, a souligné Valerio de Luca, a une grammaire anthropologique précise » : elle est « source d’humanité, lieu où chaque personne trouve la vie et forme son affectivité, ses valeurs, ses règles, ses relations ».
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